http://www.newsmada.com/2018/10/03/toamasina-une-cellule-anti-corruption-au-port/
Une cellule anti-corruption et un comité de veille informationnel sont désormais mis en place au niveau de la Société du port à gestion autonome de Toamasina (Spat) et des deux ministères de tutelle, ceux des Finances et du budget ainsi des Transports et de la météorologie, parties prenantes dans le projet d’extension du port de Toamasina. En effet, l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica), principal bailleur du projet d’extension du port Toamasina, mobilise toutes les parties prenantes dans la bonne gestion de ce projet d’envergure. C’est dans ce cadre que la Jica, en collaboration avec le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) et le Bureau indépendant anti-corruption (Bianco), a mené une étude qui veut « minimiser les risques de corruption dans le projet de développement du port de Toamasina ». L’étude qui a duré quatre mois sera présentée, ce jour, devant tous les acteurs concernés par le projet d’extension du port de Toamasina.